Jérémy Abadie
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kibitzjac a écrit, le 2011-03-17 18:01:39 : Oui le club lui a peut être promis un contrat,mais c' est la DNCG qui n'a pas validé son contrat!! Et puis Abadie bof quoi?? Et pour le mercato il y avait plus de besoins dans d'autre postes que celui d'arrière!!! Donc ce n'était plus une priorité!!
C'est vrai que depuis plus d'un an le club a promis beaucoup de choses. Trop. -
jac a écrit, le 2011-03-17 17:44:43 : 90 000Euros??? :-B :-B il se prend pour qui? Ah c'est surement papa Abadie qui a besoin de sousous!!!
Il a craqué le gamin? Je ne sais pas ce qu'il prend,mais ça doit être de la bonne!! La il faut que j'arrête de rigoler,j'ai mal aux abdos!!!!
T'arrives à voir tes abdos sous le col roulé ?!? Un peu de sérieux. Non mais j' vous jure. Sacré Alain !
Demande un droit de réponse avec ton pote Jafar pour Abadie... -
Pourquoi Alain???
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jac a écrit, le 2011-03-17 18:01:39 : Oui le club lui a peut être promis un contrat,mais c' est la DNCG qui n'a pas validé son contrat!! Et puis Abadie bof quoi?? Et pour le mercato il y avait plus de besoins dans d'autre postes que celui d'arrière!!! Donc ce n'était plus une priorité!!
L'honneur, l'éthique, le respect de la parole donnée. (va falloir lire le dictionnaire pour comprendre)
Il eut été tellement plus simple aussi de respecter (verbe inconnu) les règles (nom commun inconnu ne désignant pas ici les pertes sanguines périodiques des dames) en jouant franc (adjectif inconnu) jeu à l'intersaison sur le mode: "Désolé Jérémie, mais tu n'as pas le niveau et n'entre pas dans les plans de l'entraineur. Tu es donc libre de tout engagement, trouve toi vite un club". -
jac a écrit, le 2011-03-17 17:44:43 : 90 000Euros??? :-B :-B il se prend pour qui? Ah c'est surement papa Abadie qui a besoin de sousous!!!
Il a craqué le gamin? Je ne sais pas ce qu'il prend,mais ça doit être de la bonne!! La il faut que j'arrête de rigoler,j'ai mal aux abdos!!!!
T'auras fais quoi, toi dans sa situation ?
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En ayant lu certaines remarques au sujet de jac, je me dis qu'il aurait donné à Jafar-le-Magnifique un cours d'économie consacré à l'inflation avec travaux pratiques. (*)
(*) Oui, de bon matin, ce n'est pas évident à comprendre. -
Citation: Pourtant, il avait l'un des plus petits salaires. Quand on voit qu'un club comme Strasbourg n'est pas capable de donner 3 500 euros bruts par mois à un joueur qu'il a formé, c'est vraiment inquiétant. »
Cette parole du père d'ABADIE me laisse perplexe et nous plonge dans l'environnement irréel du foot business :( -
Abadie : « Ces gens peuvent détruire une carrière »
C'était le 29 janvier 2010 : heureux du 2 e but inscrit par son capitaine Guillaume Lacour contre Ajaccio (2-0, 22 e journée de L 2), Jérémy Abadie avait réalisé une belle première mi-temps, avant de sortir à la pause sur blessure. Il n'avait ensuite rejoué que 36 minutes à Istres le 9 avril. Un an plus tard, il évolue en CFA 2. Photo Jean-Marc Loos
À 22 ans, Jérémy Abadie, qui avait signé pro au RCS en 2009 pour un an et prolongé l'été dernier, s'est engagé fin janvier à Saint-Malo (CFA 2). Il se dit trahi par les dirigeants strasbourgeois qui, selon lui, n'ont pas tout fait pour homologuer son contrat et l'ont conduit à quitter son club formateur à l'automne.
Seul joueur du Racing dont le contrat n'a pas été validé par la DNCG (1) cette saison (2), Jérémy Abadie, formé à Strasbourg de 2004 à 2010, a quitté la capitale de l'Europe début décembre. Après quelques contacts avortés, le jeune défenseur de 22 ans s'est engagé fin janvier pour quatre mois sous contrat fédéral avec Saint-Malo (CFA 2) où son frère Steve, de quatre ans son aîné, évolue depuis quatre ans.
Il s'y refait une santé et espère toujours reprendre le fil d'une carrière pro mise en péril par des dirigeants londoniens qu'il tient pour responsables. Il a assigné le RCS aux Prud'hommes.
Jérémy, vous vous êtes retrouvé au chômage à votre départ du Racing cet automne...
Non, pas au chômage. J'ai été sans emploi, ce n'est pas pareil.
Quelle est la nuance ?
Quand une entreprise licencie un salarié, elle a pour obligation de lui remettre une attestation garantissant qu'il a été employé chez elle, combien de temps et à quel salaire. Christophe Cornelie (Ndlr : le directeur général) a refusé et refuse toujours de me la fournir. Je n'ai donc pas pu m'inscrire au pôle emploi, parce que ce document est indispensable, et n'ai même pas droit aux indemnités chômage. Ça fait cinq mois que ça dure. J'ai relancé les dirigeants londoniens une ou deux fois. Sans résultat. Alors, je me suis attaché les services d'un avocat et nous avons attaqué le club aux Prud'hommes.
Où vous réclamez 90 000 euros ?
Je ne réclame rien d'autre que le reliquat de mes deux ans de contrat, ce qui ne fait pas 90 000 euros. Si mon avocat a fixé notre demande à 90 000 euros, c'est qu'il l'estime justifiée au regard du préjudice subi.
Les dirigeants du Racing ont toujours prétexté pour expliquer votre non-qualification que la Ligue avait choisi les joueurs de manière aléatoire...
Ça a été vrai pour le premier passage où Régis Gurtner et Julien Outrebon n'ont pas été qualifiés non plus. Mais plus après. À un moment donné, les dirigeants ont fait le choix de ne plus représenter mon dossier, alors que j'avais été un des premiers à signer, et n'ont pas eu le courage de me le dire en face. C'est ce que je leur reproche. Si je l'avais su dès août, j'aurais pu chercher immédiatement, effectuer des essais. Là, je me suis retrouvé sans rien en novembre, à une période peu propice pour retrouver un club.
Votre père Serge disait récemment que votre mésaventure allait changer la charte du footballeur professionnel. En quoi ?
Mon père connaît très bien le vice-président de l'UNFP (3), Jean-Jacques Amorfini. Dès 2012, un amendement sera intégré à la charte, stipulant qu'un joueur engagé par un club avant un autre sera prioritaire pour être qualifié. Ce n'était pas clair jusqu'ici. Mon cas est un cas d'école. Cet amendement aidera probablement d'autres joueurs à ne pas vivre ce que j'ai vécu et m'aidera aussi je l'espère dans mon procès. Je ne méritais pas ce traitement, parce que je suis un bosseur et n'ai jamais rien lâché. Je crois avoir prouvé à l'entraînement que je ne méritais pas moins ma chance qu'un autre. Mais on ne me l'a pas laissée. Je ne comprends pas. J'en veux énormément aux dirigeants londoniens. Ils portent une grande part de responsabilités. Ces gens peuvent ruiner une carrière alors qu'ils ne connaissent rien au foot.
Votre carrière, justement, a pris une tournure inattendue, avec votre signature à Saint-Malo. Pourquoi ?
Après mon déménagement le 12 décembre, je suis retourné chez mes parents, près de Meaux. J'ai ensuite passé une semaine au CD Atletico Baleares (3 e division espagnole) où joue Nicolas Bonis (Ndlr : l'ancien gardien du Racing). Ça s'est très bien passé. Mais là-bas, le mode de rémunération était flou et j'ai préféré revenir en France. En janvier, je me suis entraîné avec mon père qui a joué au Paris FC à l'époque de la L 2. Puis fin janvier, j'ai été à deux doigts de signer à Mellila (4). Le club m'avait transmis un contrat, mais comme je ne m'étais pas rendu sur place, j'ai pris quelques infos auprès de l'UNFP. Elle m'a informé que Melilla avait du mal à honorer les salaires. J'ai décliné l'offre. J'ai eu pas mal de touches en National, mais la réglementation est ainsi faite que ces clubs ne pouvaient pas me proposer moins qu'à Strasbourg (3500 euros bruts mensuels). Ils préféraient donc mettre cette somme sur un attaquant plutôt que sur un défenseur, ce que je peux comprendre. Au tout dernier moment, j'ai signé à Saint-Malo, en CFA 2, et rejoint mon frère. L'équipe s'entraîne quatre fois par semaine. Moi, tous les jours, pour être vraiment au top.
Rêvez-vous toujours d'une carrière pro ?
J'ai eu une période de doute, mais j'ai repris confiance. Je ne désespère pas. Même si je joue aujourd'hui au 5 e niveau, je veux toujours faire du foot mon métier. Dès cette semaine, nous allons, avec mon nouvel agent, nouer des contacts. Je ne vais rien lâcher et j'espère trouver un bon club pour 2011-2012. Je veux prouver à ces gens qu'ils ont eu tort.
(1) Direction nationale du contrôle de gestion.
(2) Avec les Camerounais Anicet Eyenga, qui a préféré partir tout de suite, et Albert Baning, dont le gendarme financier a refusé la qualification en janvier.
(3) Union nationale des footballeurs professionnels.
(4) Enclave espagnole en territoire marocain dont l'équipe évolue en Segunda B, l'équivalent du National.
L'Alsace -
C'est encore pire que ce que l'on savait déjà.
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Commentaire d'un internaute en dessous de l'article :
"Pour Mr Godin, tout est bon pour critiquer les dirigeants (incapables ) actuels du Racing.
Quand il ne trouve pas de nouveautés, il nous ressert des vieux plats.
Plutôt que de démolir, qu'il emploie intelligemment ses forces à essayer de dénouer cette crise".
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J'ai du mal à saisir...
Depuis quand les journalistes sont là pour "dénouer" une crise ?
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Je ne suis pas l'auteur de ce commentaire mais je l'approuve.
Les journalistes peuvent aussi faire pression de façon constructive. D'ailleurs le lobby des médias ne se gène pas pour le faire dans certain cas.
Comme les supporters ou les politiques... -
Il n'y a pas de "lobby des médias".
Je trouve qu'il y a quand même du fond nouveau et intéressant sur le cas Abadie. Notamment l'info qui nous dit que la charte du footballeur pro, document très important, va être révisée suite à son aventure. Au delà du traitement dégueulasse qui a été réservé à Abadie, le Racing est en train de se constituer une très sale image de club pas fiable auprès des joueurs et de leur syndicat. -
Comme cela a été dit 1000 fois sur le forum, ABADIE n'est pas ZIDANE. Et il a retrouvé un club.
L'affirmation de l'article n'est jamais qu'une spéculation jusqu'à preuve du contraire. Elle émane du père de l'intéressé, c'est tout dire...
Les journalistes peuvent aussi faire des propositions constructives.
Tu dis, STROHTEAM, qu'il n'y a pas de lobby médiatique. Et bien, essayes de t'en prendre à la corporation des journalistes... Comme toutes les corporations, d'ailleurs.
Sans compter le fait que les médias ne nous parlaient que des journalistes otages en AFGHANISTAN avant qu'ils condescendent, enfin, à parler des autres otages. -
Je trouve ça constructif de médiatiser le cas Abadie pour que cela n'arrive pas à un autre footballeur. Ce n'est pas parce qu'Abadie n'est pas Zidane qu'il faut le traiter comme un moins que rien, ne pas respecter ses droits et le laisser dans la merde sans qu'il puisse même s'inscrire au pôle emploi.
D'ailleurs dans cet affaire Abadie a du se sentir bien seul. A part paolo tout le monde s'en fout ... -
Je ne suis pas insensible à la situation humaine d'ABADIE, bien sûr.
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triangle a écrit, le 2011-04-05 14:34:46 :
Tu dis, STROHTEAM, qu'il n'y a pas de lobby médiatique. Et bien, essayes de t'en prendre à la corporation des journalistes... Comme toutes les corporations, d'ailleurs.
Sans compter le fait que les médias ne nous parlaient que des journalistes otages en AFGHANISTAN avant qu'ils condescendent, enfin, à parler des autres otages.
Tu mélanges tout. Effectivement, des médias peuvent régulièrement faire pression sur différents décideurs. Et les journalistes défendent comme les autres les intérêts de leur profession, et bénéficient pour ce faire de facilités que n'ont pas d'autres branches professionnelles. Tout celà est assez peu douteux.
Pour autant, parler de "lobby des médias" ou de "lobby médiatique" est une grossière simplification. Déjà parce que le terme "lobby" est une facilité de langage pour parler des groupes d'intérêt puisque, dans un contexte français, cette activité ne bénéficie pas d'un statut réel. Ensuite, et surtout, parce que les médias sont très éclatés et défendent selon leur spécificités des positions très différentes. L'ouverture de la publicité TV à la grande distribution a par exemple fait l'objet d'une lutte entre les chaines privées et les groupes de presse régionale, la presse gratuite et la presse payante se tirent le bec et quelqu'un comme Le Lay a ferraillé pendant des années contre le lancement de la TNT. -
Merci d'avoir confirmé mes propos.
Mais je n'ai pas tout compris. -
Je comprends aussi, qu'au travers du cas Abadie, on met encore davantage en lumière le coté sans foi ni loi des dirigeants du Racing, purs produits des écoles de finances pour qui seul vaut le profit.
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Cornélie semble plus dans l'inné que dans l'acquis. Je ne sais pas si il existe une école de l'impolitesse - pour rester softy -.
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Personne n'a jamais douté de cela récemment, il vecchio.
On parlait d'ailleurs sur ce forum de patrons-voyous à leur sujet. Mais ils ne sont pas les seuls, hélas ! -
@trinagle: Nous savons que ce sont des patrons-racailles, mais il est bon que le lecteur lambda qui ne suit pas forcément les affaires au quotidien soit aussi informé.
Evidemment, celui qu débarque par hasard du monde idéal de Barbara sur le site de l'Alsace, prend un coup. -
Citation: Evidemment, celui qu débarque par hasard du monde idéal de Barbara sur le site de l'Alsace, prend un coup.
laissez mulhousien en-dehors de vos querelles
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Le lecteur lambda ne s'intéresse pas forcément au RACING ou au foot, en général.
Il y a bien d'autres patrons voyous dans leur ville, leur village ou aux alentours -
Connais pas. Par contre, je lis les bisounours et les barbapapa de Barbara S. dans la Pravda.
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