L'entame d'une discussion avec NV sur les 215 premières pages de la lecture du moment.
Cher NV,Sans vous forcer, j'attends les deux-trois arguments qui vous ont fait aimer "cosmos Inc" ("haletant", vous dites), car à la page 215, je me demande bien comment je ne vais pas regretter un achat d'une vingtaine d'euros et poursuivre ce "métatunnel" puéril, en dépit de la sympathie que j'éprouve pour son auteur Iséro-québeco-catholico-futuro-rocker.
Mise à part la question de la renaissance du catholicisme dans un contexte de chaos technologique (des reminescences fugitives d'Origène dans une mémoire parallèle en lien avec la Heavy metal Valley), j'ai des difficultés à souffrir des multiples rebondissements de sitcom (...il percevait un futur qui voulait s'accomplir. C'était aussi beau que la disparition d'une fusée dans le ciel d'azur de midi, p.185). De là, l'impression que même si le synopsis est plaisant, certes, la vision de notre époque à travers une anticipation digne d'intérêt (Grand djihad, rationnement de l'eau, le NeuroNet, etc..), on pense au mieux aux cahiers d'un scénariste américain. Si bien, qu'il vaut mieux en parler que le lire.
