Ne vous indignez-vous pas de "l'incroyable légèreté et de la vulgarité même avec laquelle la quasi totalité des médias interprètent et présentent à leur public un discours de Benoît XVI d'un niveau intellectuel et spirituel devenu semble-t-il totalement inconcevable à l'esprit journalistique et qui, pour cette raison, doit être métamorphosé en quelques formules simples et fausses, même si celles-ci doivent déclencher des passions violentes en de larges parties du monde?"
C'est à pleurer.
Nous y reviendrons pour démontrer l'abominable et désolant niveau de la presse à travers ces comportements de mauvaise foi, pourrais-je dire dans un accès de galéjade si l'humeur et la consternation ne m'en empêchait. Non n'y reviendrons pas, s'il vous suffit de lire le monde pour vous croire informé, libre à vous de vous en contenter, pour ma part, je ne cliquerais plus jamais sur leur site, qu'il ne vienne pas s'étonner d'un destin à la libération.
Lorsque vous tapez dans votre moteur de recherche favori, google, l'équation de recherche confidential "do not distribute", vous obtenez des informations qui n'auraient pas dû franchir les murs de l'entreprise.
Internet permet des sites où des gens se rencontrent, mais parfois, des gens rencontrent des sites, comme Le Blast qui ne se remet pas de sa dernière déception.
En cette saison de remise de mémoire de dernière minute qui occupe les plus intransigeants de nos anti-Cpe, étudiants, nous éditons, tel les Athena Notes de la page 20, un condensé d'un travail qui se perdra dans quelques fonds de bibliothèques, mais que nous mettons en ligne par la grâce d'une bienveillance toute et seulement amicale.
Le Blast, une nouvelle recrue, est chargé de rebooster l'audience du stublog, en séduisant les prêcheurs de l'apocalypse (qui sont les bienvenus), les antimodernes et ceux qui se retournent dans leur tombe.
Aller de bar en bar permet, et je crois que c'est une tradition que l'on retrouve à l'origine des tapas en Espagne, d'aller d'ambiance festive en ambiance festive dans l'espoir d'agréger des groupes de jeunes gens inconnus et sympathiques qui partagent l'envie de faire lafête et de finir sur un dancing, sauf si bien sûr, on se fait violer comme à Bayonne.
Marc le Briadec
Jules Deschanels, qu'on ne présente plus, donne ses conseils précieux qui ont permis au team d'Almendralejo, de s'élever au 103ème rang du concours de pronostics du seul championnat qui vaille.
Un ami aux doigts gourds nous a écrit un mail qu'il a en plus envoyé. En guise de félicitations, le saint remerciement du saint patron des doigts gourds.
Le jeune Yohan Gourcuff qui a fait, on le rappelle, des infidélités à la Bretagne et cracher à la gueule de son club formateur, pour être pudique, écrit (ou son agent) une lettre à son père depuis le milanello.
Au bout du dix-huitième pub anglais, je trouve une connexion potable et pourtant, je ne peux guère naviguer. Entre deux anglais torse nue, on trouve son inspiration avec les plus mauvais tubes de bonjovi. Les anglais se précipitent en masse, là où il y a du bruit, tandis que les allemands ont repéré les endroits les plus classieux. Ils sont plus riches, il faut dire. Les gens ne se comprennent pas, dans ces mélanges d'idiomes, et si chacun n'était pas préoccupé par la dorure de parcelles de peau, on pourrait assister à une guerre civile, entre des hordes de touristes barbares, des locaux besogneux et des riches qui payent pour la tranquilité. Maman fait ses "recherches" mais je reste dans le même hôtel. Mon physique très neutre me permet de rester anonyme, si ce n'est parfois on pensent reconnaître quelqu'un dans mes faux airs d'une rencontre passée.
Je réfléchis à un nouveau projet pour le stub d'almendralejo, des contributions décisives pour la rentrée, mais je crains que ce qui ne sera qu'une pathétique redite ne fasse rire que moi et qu'elle appuie derechef sur la tonalité trop politique de ce stublog. Mais bon, il sera question de bidou qui gagnerait à être connu, il y aura aussi le retour des accents.
Une maison sur dix arborait le drapeau allemand et nombre d'entre eux ont été agité à proximité d'un short et d'une chopin' il y a un petit mois, ce qui fit dire au Bundesprésident qu'il se sentait moins seul à se ballader avec des petits drapeaux sur son capot.
Jules Deschanels voulait partir en vacances, mais voilà qu'un de ses poulains les moins bien lotis le tire par la manche pour lui trouver un club d'urgence. Il profite de la tribune stubiste pour lancer un appel à de bienveillants recruteurs. Voici le Cv de notre footballeur postulant.
Je perds mes cheveux, indiscutablement, encore une fois lors d'une énième défaite au spider solitaire, je secoue ma tête de dépit et un amas de cheveux morts se déploie sur la table. Je ne m'en fais pas trop, à vrai dire, j'aurais l'air peut-être plus sexy, même, avec mes tempes dégagées, car je ne mesure pas encore combien mes coupes de cheveux avaient quelques décennies de retard sur la norme et la bienséance et que j'ai l'air "ringard-victim" depuis toujours. Ces petits follicules d'acides gras, donc, qui se mêlent aux miettes de mes brioches choky doky (1,39 euros les 8 briochettes au lidl), rejoignant la poussière, me rendaient presque euphorique. J'ai lu, par ailleurs, qu'Amgen allait solliciter trois mille huit cents personnes pour une étude clinique, j'espère que cela va marcher, car on a besoin de nouveaux médicaments, je le sens. Les médecins sont incapables de diagnostiquer mes maladies, parce qu'ils ne connaissent pas les molécules qui vont les guérir. Vivement que les visiteurs médicaux viennent refaire leur éducation à ces trous duc'. Ces petits ignares ne connaissent pas le génie des commerciaux qui sont capable de faire rapporter des milliards pour des médicaments rien qu'en réécrivant l'indication, comme pour le viagra, de panne sexuelle (pas vraiment médicale) à "trouble de l'érection" (nettement plus sérieux pour les disciples d'Hippocrate). J'en ai consommé une fois, de la pilule bleue, non pas pour un problème d'ordre érectile, au contraire, -c'est désagréable ces effets primaires que je ne désirais pas vraiment-, mais pour les accélérations du rythme cardiaque, je dois avouer, j'ai honte, que j'y ai pris du plaisir, c'était intense et doux à la fois. Cet été, je somnole dans mon une-pièce. Ma mononucléose prolongée et mes doigts gourds ne me permettent pas de travailler, ni même de chercher un travail, mon frère et ma mère m'aident financièrement ainsi que quelques études cliniques qui me font rencontrer quelques personnes muy simpatico et mettent du beurre dans mes épinards toxiques.
J'avais émis la volonté de parler plus longuement d'un livre qui me semblait des plus intéressants. Je peux vous en livrer enfin quelques pistes de lectures. La raison des nations réflexion sur la démocratie en Europe de Pierre Manent ouvre des pistes intéressantes que j'eus aimé voir explorées, du moins évoquées, lors de mes études. Mais peut-être était-ce le but involontaire d'un "institut d'élite" de nous montrer le monde que dans son ravissement pour être en phase avec lui et de s'y conformer avec talent.
Le capitaine de l'équipe de France a craqué dans les dernières minutes d'un événement de la plus haute importance. Comme tout le monde mais mieux que quiconque (pas le gorille), Jules Deschanels, l'antique et respecté entraîneur, souhaitait s'exprimer.
Avoir son baccalauréat en 2006, ce serait comme s'amuser à fabriquer une cloche de 20 m de haut, en Urss, dans les années 20, si on aime, bien sûr, les statistiques, les gratifications fantoches et l'absurde aussi, oui, surtout l'absurde.
Toujours là, un scénariste spenglérien, un chef de la photographie qui a fait ses gammes dans des séries X, Z et XZ, de la bonne musique téléchargée mais easylistening et des financeurs charcutiers et charcuteurs, cette fois-ci, dans votre gobelet de la fontaine à eau une dose de pessimisme réaliste pour bétabloquer l'euphorie ambiante née de la victoire d'une équipe de football.
Le "Moi et Mon pote Lionel" team délaisse un instant son yacht pour prendre la température de la fièvre mondiale, puisque c'est comme cela qu'on le dit.
Paul-Paul a encore lu les journaux en ligne et cette semaine, deux ou trois ou quatre ou cinq choses l'ont irrité. Néanmoins, il est resté sur sa chaise, s'est accoudé au pilier.
Plébiscitez-le, il est timide.